Migration : la Guinée un pays hospitalier de la Sous-régional

Ils sont nombreux de nos jours, ces étrangers de la sous-région qui viennent s’installer en Guinée. Après quelques années, ils décident de demeurer définitivement. D’ailleurs, certains parmi eux, se voient maintenant comme des Guinéens.

Robert Ayivi, Togolais 

Robert Ayivi est un Togolais résident en Guinée depuis 2004. Enseignant de profession, il est actuellement le directeur général du groupe scolaire le Prince dans la commune de Dubreka. Il dit toujours être dans les normes pour éviter les soucis administratifs.

‹‹ je ne pas dire qu’administrativement que j’ai des difficultés. Pourquoi ? Parce que quand nous évoluons à l’école, il y a des rapports que nous fournissons… Octobre, novembre, décembre, il faut évaluer les enfants et déposer les résultats auprès des autorités de l’éducation. ››, a-t-il expliqué.

Nous rencontrons Nihad Agbadé à Nongo, dans la commune de Ratoma. Elle est une étudiante à l’Université Koffi Annan de Guinée, d’origine béninoise. De son côté, elle est marquée par la solidarité guinéenne.

Nihad Agbadé, Béninoise 

‹‹ les Guinéens sont solidaires. Donc du coup avec les étrangers, ils sont bien au fait. ››, a mentionné la jeune demoiselle.

 Selon la loi de 1991 qui détermine les conditions de rentrer et sorties sur le sol guinéen, ‹‹ pour résider en République de Guinée au terme de l’expiration du délai de Visa, vous êtes sollicité un visa de séjour de longue durée, une carte de résident, et carnet d’étranger au cas échéant.››

Arabiou Barry

Tel. 623 64 79 72

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