À l'Institut Supérieur de l'Information et de la Communication ISIC de Kountia, la propreté est au premier plan. À l'intérieur de la cour de l'institution, c'est l'élément qui frappe l’esprit au premier regard. D'ailleurs, pour l'un des responsables de l'institut, c'est leur première préoccupation.
Réputé en matière de formation professionnelle de qualité en journalisme et en communication, l'ISIC n'est pas que sérénité dans les études. La santé publique est également très prise au sérieux dans cet institut. Cela commence par l'assainissement quotidien de l'enceinte de l'institution, qui déjà est un souci crucial pour les autorités dudit institut : << l'hygiène, c'est notre philosophie primaire à l'ISIC,....>> affirme Mamadou Keïta, l'administrateur de la cité.
Mamadou Keïta, administrateur de la cité.
Très satisfaite de cette bienveillance, Mariama Djiba Camara, étudiante de la licence 3 journalisme, ne manque pas d'exprimer sa reconnaissance en ces termes : << Ça fait trois ans depuis que je suis là, mais très franchement je tire chapeau aux responsables de l'ISIC. Car même à l'improviste, on peut recevoir n'importe qui sans inquiétude sur le plan d'hygiène. Et ça, c'est une qualité à absolument magnifier. >>
Mariama Djiba Camara, licence 3 journalisme.
Dans la même perspective, Elhadj Mamadou Baldé, également étudiant de la licence 3 journalisme, dit être comblé quant à la propreté remarquable que l'ISIC fait toujours preuve : << La première différence entre l'ISIC et les autres universités, c'est la propreté. Quand on est à l'ISIC, on est sans doute dans un environnement saint. Et vient s'ajouter à cela, la responsabilité que font preuve les étudiants d'ici, après consommation des aliments. Ils prennent soin de mettre les plastiques et toute autres formes d'ordures dans les poubelles. >>
Elhadj Mamadou Baldé, licence 3 journalisme.
Selon d'autres témoignages hors micro, beaucoup d'étudiants choisissent l´ISIC pendant les orientations au bac, à cause de sa propreté constante et indéfectible.
Les réseaux sociaux sont devenus le quotidien de plusieurs jeunes en Guinée de nos jours. La plupart d'entre eux passe presque tout leur temps temps connectés sur des plateformes de divertissement, ignorant les avantages de ceux-ci. Et pourtant, l'internet regorge une d'importantes plateformes de recherche destinées à la formation. Les réseaux sociaux sont devenu en très peu de temps un phénomène d’une ampleur inouïe. Censé permettre aux inscrits de rester en contact les uns avec les autres et d’échanger des informations, des photos, et des actualités de tous ordres, bref d’interagir, les réseaux sociaux ont induit une pratique rapidement devenue un authentique fait social. La recherche s’est emparée de cette question, mais la richesse des interactions et les difficultés de collecte de données font que le sujet n’est pas près de s’épuiser. Visiblement, la jeunesse guinéenne représente la couche la plus importante de la population. Avec les technologies de l'informati
De nos jours, de plus en plus de jeunes se tournent vers l’investissement en ligne comme une opportunité de gagner de l’argent sur Internet. Toutefois, cette démarche comporte des risques élevés d’arnaques et d’escroqueries qui peuvent entraîner d’importantes pertes financières. Comment mettre fin à cette tendance ? C’est une question complexe, car les arnaqueurs deviennent de plus en plus astucieux. Ce problème n’est pas uniquement local, il s’agit d’une préoccupation mondiale, mais il touche particulièrement l’Afrique, où il devient un facteur d’appauvrissement pour de nombreuses populations. Cela a eu un impact significatif en Guinée, où de jeunes investisseurs ont récemment subi d’importantes pertes d’argent sur une plateforme d’investissement appelée Rich-VIP. Ces jeunes, faisant face au chômage et à un manque d’opportunités d’emploi, ont cherché à augmenter leurs revenus grâce à ces investissements. Cependant, après des débuts prometteurs, leur espoir s’est évaporé lorsque l’entr
De plus en plus de marchands ambulants de tous âges envahissent les routes de Conakry. Malgré les dangers d'accident, ils saisissent chaque embouteillage pour vendre différents produits tels que de l'eau minérale, des biscuits, des jus et des fruits. Malgré l'exposition au soleil, ils continuent de « chercher à subvenir à leurs besoins » dès qu'ils voient le moindre embouteillage. Ils sont présents principalement sur l'autoroute Fidel Castro et sur l'Axe Leprince. Malgré les risques d'accidents, ces vendeurs ambulants tirent avantage des embouteillages pour écouler leurs marchandises. Il y a une augmentation croissante de leur nombre sur les routes de Conakry. Marie conté , une femme d'une trentaine d'années, vend du pain au lait à la Cimenterie dans ka commune de (Dubréka). Se faufilant entre les véhicules malgré les risques d'accident qu’elle encourt,elle se dit obligée à faire le commerce ambulant << c'est pour subvenir aux bes
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