ISIC de Kountia: les étudiants lèvent la session

A l’institut supérieur de l’information et de la communication cet institut l’organisation des sessions de rattrapages est devenue une coutume chaque année. Les étudiants et même ceux qui attendent la soutenance viennent passer ces évaluations. A chaque levé des sessions les étudiants se réjouissent de l’organisation, par contre certains refusent d’y participer.

Les étudiants en salle de classe

Comme le dit bien son slogan « former pour mieux informer et communiquer » l’ISIC de Kountia met toutes les possibilités pour une bonne formation de ces étudiants. 

C’est dans ce cadre que chaque année la direction générale des études et les deux départements organisent des sessions de rattrapage pour les étudiants. Le but est de permettre à ces derniers de valider toutes les matières dans lesquelles ils n’ont pu se relever les années précédentes. 


Dans les salles de ces évaluations de seconde chance toutes les mesures sont prisent pour son bon déroulement. Les sujets sont soigneusement élaborés par les professeurs, dans chaque salle la surveillance est assurée par deux enseignants, et pour permettre à tous d’y participer. les horaires sont fixés en fonction du temps libre dans l’emploi des étudiants.

N’mah N’dèla KEITA une étudiante en journalisme dans cet institut se réjouit de lever la session. « Dans les autres universités on n’organise pas la levé des sessions, mais à l’ISIC les profs se battent pour qu’on se rattrape. Vraiment je trouve que c’est une bonne chose car ça nous permet de compléter nos notes. »D’autres étudiants refusent de participer à ces sessions de rattrapages, pour cause les uns affirment que certains professeurs ne reportent pas les notes tandis que les autres ont peur d’aggraver leur situation par un ajournement. 



Face à ceci il y a des étudiants qui n’encaissent pas ces arguments. « Les étudiants qui refusent de lever la session se trompent eux même parce qu’à ISIC tu ne peux soutenir sans valider toutes les matières. C’est un échec pour eux, sur les bancs ils refusent de lever c’est les années après les études qu’ils viendront faires ça avec les petites et petits qui sont sur les bancs. Personnellement c’est honteux. » affirme Alya SOUMAH, étudiant. 

Pour cette année, les étudiants n’auront plus à attendre l’année prochaine pour les rattrapages. Car les autorités ont fait une innovation leurs permettant de reprendre l’évaluation dans les matières où ils sont en session la même année.

Bountouraby SIMAKAN

Tel: 610 20 93 89

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