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Bloc Master de l'ISIC |
Présent partout et visible sur tout l’institut, ces hommes en bleu s’occupent de tout et ont toujours l’air sérieux. Mais connaissez-vous réellement leur rôle, leurs missions, leurs compétences et leur quotidien ? notre rédaction est allée à la rencontre de ces agents à la fois connus et méconnus du public.
A l'instant supérieur de l’information et de la communication (ISIC) de kountia, ces vigiles sont toujours les premiers sur les lieux, sans doute les derniers à repartir après que tout le monde est rentré. S’occupant des étudiants, d’infrastructures, mais aussi de tout et de rien. Une équipe structurée où chacun connait son rôle.

Mohamed Camara, assis derrière le thé, discutant avec ces collaborateurs et quelques enseignants chercheurs de l’institut, nous décline l’organisation de son équipe avant d’évoquer leur rôle et surtout cet environnement d’amitié que l’ISIC est devenu pour eux : « Nous avons une équipe de 6 personnes, dont chacun connait son rôle au sein de l’institut, il y’a un qui est posté devant la case ronde, chez la Directrice en cas si elle a besoin de nous et surtout surveiller et protéger cet édifice. Quant à nous autre, le plus souvent nous sommes devant les portails. Parlant de notre rôle, nous gérons l’intégralité de la sûreté et de la sécurité, nous veillons à la sécurité des personnes et des biens de l’ISIC. Nous ne sommes pas armés, notre rôle n’est pas offensif. En tant que vigile nous savons garder notre calme même dans les situations les plus tendues et avant tout nous avons un rôle de sécurisation par la médiation et la prévention. » explique-t-il
Poursuivant, l’institut est devenu un environnement d’amitié entre vigiles et étudiant mais aussi vigiles et encadreurs : « je dirais tout simplement, ce qui me plait dans cet institut, c’est la convivialité, l’ambiance générale au sein de l’équipe et dans cette communauté isicoise. Aujourd’hui à travers la maturité des étudiants de l’ISIC, j’aime de plus ce métier. » poursuit-il
Quant à Facely Millimono assit sur une chaise roulante devant la case ronde, toujours là revient sur le parcours qu’il a eu avant d’arriver à l’ISIC : « D’abord moi c’est le commissaire Kamano qui m’a envoyé ici comme vigile, par ce qu’au paravant, j’avais commencé par le TCA de Dabompa, j’ai travaillé là-bas de 1970 à 1977, j’ai travaillé pas mal dans le gardiennage avant d’arriver à l’ISIC. Mais pour tout vous dire l’ISIC c’est mon coup de cœur. » affirme-t-il
Amadou Oury Diallo
Tel : 621 66 15 61
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