ISIC DE KOUNTIA : un de ses produits s’exprime
ISIC de Kountia est un institut qui forme les journalistes et communicants. Il met sur le marché d’emploi chaque année près d’une centaine d’étudiants déjà opérationnels. Aujourd’hui, la plupart des postes de responsabilité dans les rédactions sont occupés par ses étudiants. Mamadou Aliou KEITA en est un exemple.
Ancien étudiant de l’ISIC, Mamadou Aliou KEITA est aujourd’hui le responsable du laboratoire de la langue anglaise au sein dudit institut. Pour lui Cette performance n’est pas un fruit du hasard. « ISIC de Kountia est une institution de rigueur, de bon encadrement et qui forme bien ses étudiants. La preuve est que, nous avons bénéficié des matières qui nous ont permis d’être ce que nous sommes aujourd’hui. Car, beaucoup de mes amis sont opérationnels sur terrain. Quant à moi, j’ai eu la chance d’être retenu au sein dudit institut en tant que homologue enseignant chercheur, précisément, au laboratoire de la langue anglaise. Aussi, c’est grâce à ce même institut, nous avons suivi d’autres formations parallèles qui ont fait de nous des journalistes spécialistes sur des questions des droits de l’Homme, culture de la paix, démocratie et bonne gouvernance, industries extractives et les mines… », se justifie-t-il.
Poursuivant, il souligne également l’apport du système d’enseignement de l’ISIC dans sa vie professionnelle. « L’ISIC m’a apporté plein de choses. Premièrement est que, j’ai reçu une formation de qualité. Cette formation m’a permis d’être professionnels et de subvenir à mes besoins à travers mes productions. Deuxièmement, c’est grâce à ce même institut j’y suis homologue. Il m’a aussi permis d’écrire une brève, faire un bulletin et même réaliser une édition d’informations. C’est grâce à son système d’enseignement je suis aussi compétitif sur le marché de l’emploi ».
Un institut d’enseignement concurrencé mais jamais égalé dans l’élaboration de ses programmes et sa qualité d’enseignement. Ce qui fait de lui un institut de référence dans le pays.
Lanfia CAMARA
Extrait de l'interview
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